Qui sommes-nous à dire que les «maladies mentales» sont vraiment les maladies? Je ne suis pas médecine mais je crois que nous sommes sous l'influences que nous sommes les personnes «normales» et si cette personne ne fait pas les choses comme nous, nous pensons qu'elle souffre de quelque chose. Donc, avec ce que j'ai dit, je crois aux diagnostics psychologique, mais c'est plutôt cas par cas. Avec les troubles obessifs-compulsifs ou la schizophrénie, c'est plus facile à les diagnostiquer car ils sont évidents, mais avec la dépression, je crois que c'est difficile à diagnostiquer. Par exemple, une personne peut vivre toute la vie en souffrant de la dépression... peut-être elle a maîtrisé comment la supprimer et faire les activités quotidiennes. Mais peut-être la dépression lui conduit à la dépendance de drogues ou l'alcool. C'est cas par cas...
À propos des compagnies pharmaceutiques, je crois qu'elles exercent un pouvoir très important dans l'attribution des diagnostics variés dans notre système de santé. Sans elles, il n'y aura pas les variations des drogues, un fait qui est important si on a les allergies à certaines drogues. Elles ont bien lancés les publicités sur le marché et peut-être elles sont responsables pour nos pensées que nous pouvons faire un diagnostic de nous-même quand nous sont malades. Nous ne sont pas les médecins mais peut-être quand nous souffrons de la rhume ou la toux nous pouvons acheter une bouteille de Robitussim et voilà nous sommes de bon santé. C'est les petites pensées comme celle-ci qui sont imposées par les compagnies pharmaceutiques... Hm, c'est intéressant!
Avec les «maladies mentales», je crois qu'il y a une possibilité que les psychologues font les diagnostics maintenant pour l'idée que les patients vont choisir d'essayer les drogues expérimentales. Aussi je pense que les compagnies sont attirées à la notion de trouver un remède pour l'argent, et pas à l'idée d'aider cette personne à guérir de sa maladie. Où est l'humanité aujourd'hui? Avons-nous oubliés qu'il y a une satisfaction à sauver la vie de quelqu'un d'autre sans gagner de l'argent?
(Et voilà... C'est minuit, je m'excuse - mes pensées sont mélangées maintenant
)
À propos des compagnies pharmaceutiques, je crois qu'elles exercent un pouvoir très important dans l'attribution des diagnostics variés dans notre système de santé. Sans elles, il n'y aura pas les variations des drogues, un fait qui est important si on a les allergies à certaines drogues. Elles ont bien lancés les publicités sur le marché et peut-être elles sont responsables pour nos pensées que nous pouvons faire un diagnostic de nous-même quand nous sont malades. Nous ne sont pas les médecins mais peut-être quand nous souffrons de la rhume ou la toux nous pouvons acheter une bouteille de Robitussim et voilà nous sommes de bon santé. C'est les petites pensées comme celle-ci qui sont imposées par les compagnies pharmaceutiques... Hm, c'est intéressant!
Avec les «maladies mentales», je crois qu'il y a une possibilité que les psychologues font les diagnostics maintenant pour l'idée que les patients vont choisir d'essayer les drogues expérimentales. Aussi je pense que les compagnies sont attirées à la notion de trouver un remède pour l'argent, et pas à l'idée d'aider cette personne à guérir de sa maladie. Où est l'humanité aujourd'hui? Avons-nous oubliés qu'il y a une satisfaction à sauver la vie de quelqu'un d'autre sans gagner de l'argent?
(Et voilà... C'est minuit, je m'excuse - mes pensées sont mélangées maintenant
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