Le bénéfice du doute

Comme société, nous avons pris beaucoup de temps pour reconnaître que les individuels avec des troubles psychologiques ne sont pas «lent» ou, pire, moins humain. Avec cette histoire, je pense que c’est très naïf à dire que je ne crois pas aux diagnostics psychologique ou psychiatrique. De plus, qui suis-je à dire que les diagnostics psychologiques sont falsifiés? Je ne suis pas un psychologue, ou une médecine, et je ne suis jamais rendue aux psychologue.

La seul critique que je peut offert comme citoyen naïve est que nous sommes tellement relient aux prescriptions, et que les entreprises pharmaceutique ont un intérêt pour garder les choses comme ça. C’est une grande industrie.

Mais, je ne peut pas place tout la culpabilité avec les entreprises. Comme des jeunes, nous nous développons avec l’idée «je ne peut pas changer ma vie» et, encore plus, «c’est pas ma faute». Pour des troubles psychologiques, c’est légitime. Mais en général, nous utilise cette excuse fréquemment avant de essayer à trouver des solutions personnelles. La quantité des prescriptions pharmaceutiques pour la dépression a augmenté significativement avec le temps, et je ne peut pas croire que dans tous les cas les prescriptions sont nécessaires.

Même, je veux croire que les psychologues prescrivent ces drogues pour la santé de leurs clients. Pourrait tous les psychologues travaillent avec un philosophie si altruiste? Non, mais je pense que nous devons leur accorder le bénéfice du doute.

Je suis certainement d'accord avec vous sur le point de la dépendance de les prescriptions aujourd'hui dans notre société. Plus en plus de gens dépendent de les médecines plutôt que leur propre système immunitaire. Si ça continue, un jour, nos corps n'auront pas assez de force pour vivre tout seul.

Intéressante discussion du déterminisme génétique et du concept de "agency" (qui se traduit mal en français)... l'idée que l'individu peut transformer sa vie d'après sa propre volonté. Il y a toujours une interaction de facteurs biologiques, psychologiques et sociales, du moins selon la perspective biopsychosociale!

Je constate qu'effectivement il y a augmentation de diagnositcs et de médicamentation pour gérer les problèmes de santé mentale. Il y a certainement eu une prise de conscience au sein du public mais en même temps le mode de vie a changé... En Amérique du moins - et au Japon aussi - nous sommes tellement préoccupés avec la productivité. Tout le monde est épuisé. Ce n'est pas étonnant que le taux de diagnostics d'anxiété - par exemple - augmente.

Mais je pense que la préoccupation avec la productivité est quelque chose que l’individuel peut rejeter, n’est pas? C’est une préoccupation de la société, donc c’est plus compliqué que dire «Je ne veux pas vivre comme ça», bien sûr, mais en fin, la responsabilité pour la santé reste avec l’individuel.

Peut être dans le monde idéaliste la santé est seulement la résponsabilité de l'individu, mais en réalité, la société controle la situation de l'individu et ce qu'il peut faire pour controler leur santé. Par example, les gens pauvres qui n'ont pas les fondes monétaire et la coupabilité psychologique ne peuvent pas simplement controler leur santé psychologique et même physiquie eux même. Il besoin de l'aide de la société.